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sábado, 26 de marzo de 2011

L'Arnacoeur bande-annonce

Qui est Vanessa PARADIS.

PAROLES de la chanson Joe le taxi:
Joe le taxi
 Y va pas partout
Y marche pas au soda
Son saxo jaune Hijo
Connaît toutes les rues par coeur 
Tous les p'tits bars
Tous les coins noirs
Et la seine Et la red de cerco
Et ses ponts qui brillent
Dans sa caisse
La musique а joe
C'est la rumba
Le vieux rock au mambo Joe le taxi Joe le taxi
C'est sa vie C'est sa vie
Le rhum au mambo
Embouteillage 
Li est comme ça
Joe - joe - joe Joe - Joe - Joe
Dans sa caisse
La musique а joe resonne
C'est la rumba C'est la rumba
Le vieux rock au mambo bidon bidon
Vas-y joe Joe Vas-y
Vas-y joe Joe Vas-y
Vas-y fonce Fonce Vas-y
Dans la nuit vers l'amazone
Joe le taxi Joe le taxi
Et Xavier Cugat
Joe le taxi Joe le taxi
Et yma sumac Et Yma Sumac
Joe - joe - joe Joe - Joe - Joe
Joe le taxi Joe le taxi
C'est sa vie
Le rhum au mambo
Embouteillage 
Joe le taxi Joe le taxi
Et les mariachis Et les mariachis
Joe le taxi Joe le taxi
Et le cha-cha-chi Et-le-cha-cha-chi
Joe le taxi Joe le taxi
Et le cha-cha-chi Et-le-cha-cha-chi
Vas-y joe Joe Vas-y
Vas-y fonce Fonce Vas-y
Dans la nuit vers l'amazone

Aujourd'hui un peu plus ¨mûre" tu peux la rencontrer dans le film L' ARNACOEUR.

CONNAISSEZ-VOUS Vanessa Paradis ?Joe le taxi Vanessa Paradis

lio ~ amoureux solitaires


LioAMOUREUX SOLITAIRESParoles: Elli Medeiros, musique: Jacno, 1980
Eh toi dis-moi que tu m'aimes
Même si c'est un mensonge et qu'on n'a pas une chance
La vie est si triste, dis-moi que tu m'aimes
Tous les jours sont les mêmes, j'ai besoin de romance
Un peu de beauté plastique pour effacer nos cernes
De plaisir chimique pour nos cerveaux trop ternes
Que nos vies aient l'air d'un film parfait
Eh toi dis-moi que tu m'aimes
Même si c'est un mensonge puisque je sais que tu mens
La vie est si triste, dis-moi que tu m'aimes
Oublions tout nous-mêmes, ce que nous sommes vraiment
Amoureux solitaires dans une ville morte
Amoureux imaginaires après tout qu'importe!
Que nos vies aient l'air d'un film parfait...La la la la la...

Cuantos recuerdos !JOHNNY HALLYDAY 1960 Souvenirs, souvenirs _1_

martes, 8 de marzo de 2011

Les Rita Mitsouko - Marcia Baila






Marcia Baila

Marcia, elle danse sur du satin, de la rayonneDu polystirène expansée à ses piedsMarcia danse avec des jambesAiguisées comme des couperetsDeux flêches qui donnent des idéesDes sensationsMarcia, elle est maigreBelle en scène, belle comme à la villeLa voir danser me transforme en excitéMorettoComme ta bouche est immenseQuand tu souris et quand tu risJe ris aussi, tu aimes tellement la vieQuel est donc ce froid que l'on sent en toi?Mais c'est la mort qui t'a assassinée, MarciaC'est la mort qui t'a consumée, MarciaC"est le cancer que tu as pris sous ton brasMaintenant, tu es en cendres, cendresLa mort, c'est comme une chose impossibleEt même à toi qui est forte comme une fuséeEt même à toi, qui est la vie même, MarciaC'est la mort qui t'a emmenéeMarcia danse un peu chinoisLa chaleurDans les mouvements d'épaulesA platComme un hiéroglyphe incaDe l'opéraAvec la têteElle danse aussi très bienEt son visageDanse avec tout le resteElle a cherchéUne nouvelle façonEt l'a inventée.C'est elle, la sauterelleIa sirène en mal d'amourLe danseur dans la flanelleOu le carton.MorettoComme ta bouche est immenseEt quand tu souris et quand tu risJe ris aussi, tu aimes tellement la vieQuel est donc ce froidQue l'on sent en toi ?Mais c'est la mortQui t'a assassinée, MarciaC'est la mortTu t'es consumée, MarciaC'est le cancerQue tu as pris sous ton brasMaintenantTu es en cendres, en cendresLa mortC'est comme une chose impossiblePour toiQui est la vie même, MarciaEt même à toiQui est foroe comme une fuséeC'est la mortQui t'a emmenéeMarcia ...

Caroline Loeb - C'est la ouate

lunes, 7 de marzo de 2011

Renan Luce - Les Voisines


J'ai toujours préféré aux voisins les voisinesDont les ombres chinoises ondulent sur les voletsJe me suis inventé un amour pantomimeOù glissent en or et noir des bas sur tes mollets De ma fenêtre en face, j'caresse le plexiglasJ'maudis les techniciens dont les stores vénitiens Découpent en tranches la moindre pervencheJ'ai toujours préféré aux voisins les voisinesQui sèchent leurs dentelles au vent sur les balconsC'est un peu toi qui danse quand danse la mousselineInvité au grand bal de tes slips en cotonDe ma fenêtre en face, j'caresse le plexiglasJe maudis les méninges inventeurs du sèche-lingePlus de lèche vitrine a ces cache-poitrineJ'ai toujours préféré aux voisins les voisinesQui vident leurs armoires en quête d'une décisionDans une heure environs, tu choisiras le jeanTu l'enfileras bien sur dans mon champ de visionDe ma fenêtre en face, j'caresse le plexiglasConcurrence déloyale de ton chauffage centralUne buée dense interrompt ma transe Puis des effets rideaux et c'est la goute d'eauUn ravalement de façade me cache ta palissadeUne maison de retraite, construite devant ma fenêtreSur un fil, par centaines, sèchent d'immenses gaines.